blague américain

La douleur des soldats de l’ONU

C’est le général des forces de l’ONU qui inspecte les rangs. Il s’approche du soldat russe qui est au garde à vous raide comme un piquet. Il prend sa Kalachnikov et lui met un grand coup dans le dos. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
– Tu as mal ?
– Niet camarade général !
– Pourquoi tu n’as pas mal ?
– Parce que les soldats russes ne craignent pas la douleur !

Il s’approche alors de l’américain prend son colt et lui met un grand coup sur la tête. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
– Tu as mal ?
– No mon général !
– Pourquoi tu n’as pas mal ?
– Parce que les soldats américains ne craignent pas la douleur !

Il s’approche alors du français, prend son fusil à baillonnette et la lui plante dans le pied. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :
– Tu as mal ?
– Non mon général !
– Pourquoi tu n’as pas mal ?
– Parce que je chausse du 39 et ces cons de l’intendance mon donné du 44 !

Le record de plongée en apnée

Un français, un américain et un belge discutent :
– En France, le record en apnée est de 8mn 52.
– Ce n’est rien, dit l’américain, notre plongeur a tenu 15mn 30.
– Chez nous, une fois, dit le belge, on ne sait pas encore, car le nôtre est descendu l’an passé, mais il n’est toujours pas remonté.

Le champion du monde de plongée en apnée
Le record de plongée en apnée

La sodomisation américaine

Un richissime Américain vient s’encanailler a Paris, ville dont un de ses potes a (discrètement) vanté les charmes sulfureux lors du dernier congrès conservateur. Il débarque à Orly, il saute dans un taxi :
– Haille, monsieuw, voudrwiez-vo condouiwre moi à Pigalle, please ?

Le chauffeur acquiesce et hop. Arrivé, il écarquille et finalement choisit. Blonde, mignonne, bien roulée, pas trop vulgaire, mais on sent l’efficacité. Un bon choix, quoi.
– Haille ! C’est combwien ?
– Trois cents, pour toi, mon chou.
– O.K. ! Let’s go !

A peine arrivé dans la chambre borgne, suivant la fille, il ferme vigoureusement la porte, donne un tour de clef, et extirpe un gigantesque 44 Magnum chargé jusqu’à la gueule (la fille pâlit méchamment) :
– Well ! A pwoil, maintenant !

Elle se dessape fissa.
– All right, retouwrne yourself !

Elle s’exécute.
– Penche-toi en avant (bend over !)!

Il lui colle alors le canon de l’arme derrière l’oreille, et d’un coup, crac, sodomise la pauvrette apeurée (elle est au bord de la syncope). Après avoir fait sa petite affaire, il remballe sérieusement son attirail, range le flingue, sort 300 dollars (!) de sa poche, les donne à la fille, ouvre la porte et s’en va tranquillement.

Martine, se remettant de ses émotions et ne comprenant plus rien, lui court après :
– Eh ! Monsieur ! J’ai droit à une explication, non ? Dites-moi, peut-être que cela ne se fait pas chez vous, mais ici, par derrière, c’est courant. Pourquoi avoir sorti le revolver ?

Il s’arrête, la regarde gentiment, sourit et lui répond :
– Well. Tou say, si je avais pas sowrti le wrevolvewr, ton twrou, il auwrait été gwros comme ça ! (avec un geste mimant une assiette).