Perles des avocats

Les genoux du terroriste

Les perles : la justice

Une avocate parisienne se fait surprendre, lors d’une visite au parloir à la prison de la Santé, sur les genoux de son client, un dangereux terroriste. Devant le conseil de l’ordre, auquel elle a dû livrer quelques explications, elle a prétendu avoir agi ainsi, parce qu’il n’y avait pas de chaise… Être avocat, c’est quand même un dur métier.

Le tribunal du sexe

Les perles : la justice

Face à un tribunal manifestement épuisé par la longueur des plaidoiries, un avocat s’efforce d’être rassurant : « Monsieur le président, je n’en ai que pour dix minutes. Ma charmante consœur aussi. L’un dans l’autre, si j’ose dire, nous en avons pour une demi-heure… »

Le fossé du mariage

Les perles : la justice

À l’audience des divorces, quand un avocat croit bien faire, il vire parfois dans l’ornière : « Le fossé creusé la première nuit du mariage a continué à s’élargir par la suite. » Madame n’en demandait pas tant.

La mauvaise langue de l’avocat

Les perles : la justice

Dans une affaire de viol, la victime s’avance à la barre et lance, du bout des lèvres :
– Depuis cette triste affaire, je n’éprouve plus de plaisir avec les hommes.

Un avocat lâche alors en aparté :
– C’est faux. Il n’y a pas de femmes frigides. Il n’y a que des mauvaises langues !

La jonction des bouts

Les perles : la justice

L’avocat est parfois obligé d’évoquer des situations pénibles : « Mes clients ont bien du mal à joindre les deux bouts et pourtant ils ont eu six enfants. » De quoi se plaignent-ils ?