« Voici donc venu à expiration mon contrat d’assurance vie temporaire. Avouez que nous avons de la chance tous les deux : vous n’avez rien à me payer, et moi je ne suis pas encore mort. »
« Vous m’avez dit l’autre jour que 93 % des conducteurs avaient un bonus ; j’ai le triste privilège de vous annoncer qu’à la suite d’un léger incident je vais faire partie des 7 % restants. »
« J’ai déboîté l’épaule de mon gamin en lui assenant une gifle. Voyez ce que vous pouvez me rembourser. Je vous envoie la note du docteur et la facture du pharmacien. »
« Je ne sais pas si vous allez oui ou non m ’envoyer un chèque ou s ’il vous manque encore une pièce à votre dossier, mais je me permets d’insister : écrivez-moi, à la maison, même si vous n’avez rien à me dire. »