Blagues

Les femmes perdues

C’est les soldes à Auchan, et dans la cohue, deux types distraits se rentrent dedans.
– Excusez-moi, je cherchais ma femme !
– Ah, je cherchais la mienne aussi !
– Comment est elle ?
– Elle est grande, 1m80, blonde, mince, bronzée, elle porte juste une minijupe et un petit haut léger. Et la votre ?
– Laissez tomber, on va chercher votre femme d’abord !

Se nourrir d’argent

Une conversation dans une des rues du Sentier :
– Alors Simon, les affaires, ça roule ?
– Aïe aïe aïe, c’est formidable ! Je mange de l’argent tous les jours.
– Dis-moi Simon, quand tu veux, tu peux venir chier à la maison…

Le prix de la pipe

Trois prostituées vivaient ensemble dans la même maison : la fille, la mère et la grand-mère. Un soir, la fille rentre du tapin avec une triste mine.
– Alors, combien tu as fait ce soir, ma chérie ? Lui demande sa mère.
– Pas terrible, répond la fille, je ramène seulement 30 euros pour une pipe.
– Waow !, dit la mère, de mon temps, une pipe ça ne valait pas plus de 50 francs !
– Vin diou !, dit la grand-mère, de mon temps, on était juste contentes de rentrer avec quelque chose de chaud dans le ventre !

Le petit canard triste

C’est un petit canard sur le lac, triste et en train de pleurer. Vient le crocodile qui lui demande :
– Hé, canard, pourquoi pleures-tu ?
– Sniff, sniff,  j’sais pas qui je suis, j’sais pas qui je suis, sniff, sniff…
– Hé ben, t’es un canard, bien sur, dit le crocodile. Regarde : bec jaune, plumes, pattes, bref ca montre que t’es un canard, quoi !
– Chic alors, j’suis un canard ! Rétorque le canard tout content de savoir qui il est, et  demande à son tour : Dis, et toi, tu es quoi ?
– Devine ! Dit le crocodile.
– Hum, dit le canard, queue agitée, court sur pattes, grande gueule, veste en cuir, …. t’es Italien ?

Le portrait d’Adolf Hitler

Le vieil Abraham Blumenstein vient de gagner au loto. Quelques semaines après avoir encaissé ses gains, il invite tous ses amis pour leur montrer sa nouvelle maison. Les amis rentrent dans la somptueuse demeure et sont étonnés de voir tout ce luxe, de l’or, du marbre, du cristal, c’est incroyable. Ils passent dans les différentes pièces et subitement, dans un corridor, ils remarquent un portrait d’Adolf Hitler.

Les amis sont choqués : comment Hitler, le responsable du massacre de plus de 6 millions de juifs, comment cet Hitler pourrait-il avoir son portrait dans la maison d’Abraham Blumenstein, lui-même rescapé des camps de la mort ?!!!.

Et c’est alors que le vieil Abraham remonte la manche de sa chemise et dit :
– Eh… c’est la moindre des choses, il m’a donné les numéros gagnants !