Blagues

L’intérêt du décolleté

– Tu as encore accentué le décolleté de ton corsage, dit une mère à sa grande fille. A quel moment vas-tu cesser de découvrir toujours un peu plus ta poitrine ?
– Je le ferai dès que mes copains, à la Fac, cesseront de me regarder dans les yeux.

Des cymbales dans le Boléro

– Vous avez très bien joué, hier soir, dit le maire d’un petit village au chef d’orchestre d’une harmonie venue donner un concert, à l’occasion de la fête locale. Mais j’ignorais qu’il y avait tant de coups de cymbale dans le Boléro de Ravel.
– C’est surtout, avoue le maestro, que notre cymbalier ne peut pas supporter les piqûres de moustiques.

L’attente chez le dentiste

Furieux des attentes interminables qu’il doit subir chez son dentiste, un homme arrête ses soins pendant six mois, durant lesquels il se laisse pousser une barbe de dix centimètres. Puis il prend un nouveau rendez-vous chez son dentiste.
– Tiens, dit celui-ci, quand il se décide, enfin, à le recevoir, vous portez la barbe, maintenant ?
– Une barbe ? Fait le patient, l’air très étonné. C’est curieux, je n’en avais pas quand je suis entré dans votre salle d’attente.

La blague de l’air conditionné

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Dans un restaurant parisien, un touriste américain appelle le garçon :
– On étouffe, ici ! Mettez donc en marche l’air conditionné.
– Bien, monsieur.

Dix minutes plus tard, le touriste dit au garçon :
– On gèle, ici ! Arrêtez un peu l’air conditionné.
– Bien, monsieur.

Un quart d’heure se passe :
– Garçon ! C’est une véritable fournaise. Remettez en marche l’air conditionné.
– Bien, monsieur.

Un autre touriste, assis à une table voisine, dit au garçon :
– Vous avez une drôle de patience avec ce genre de loustic.
– Oh ! Vous savez, répond le garçon, l’essentiel est qu’il soit content. Parce qu’entre nous, nous ne l’avons pas encore fait installer, l’air conditionné.

Jusqu’à la fin de votre vie

Une banlieusarde raconte :
– Notre banquier nous avait vivement incités, mon mari et moi, à acheter une maison en nous disant : « Ainsi, vous aurez quelque chose qui durera jusqu’à la fin de votre vie ».
– Et ce n’était pas vrai ?
– Ce qu’il avait omis de nous préciser, c’est qu’il parlait des traites.