Humour noir

Les éthiopiens qui voulaient être blancs

C’est une famille en Éthiopie qui désire devenir blanche .

Elle va voir le sorcier qui leur montre la rivière infestée de crocodiles :
« Si vous traversez rivière, vous deviendrez blanc. »

Malgré le danger ils décident de tenter le coup. Ils se lancent à l’eau. Le père, excellent nageur de son état, arrive sur l’autre rive bien avant que les crocodiles aient pu le toucher et … miracle, il est blanc !

Sa femme, moins sportive peine un peu et arrive juste à temps, à deux doigts de se faire croquer. Oh joie ! Elle est blanche aussi.

Le fils, beaucoup plus faible, n’a pas cette chance, et à mi-chemin il se fait dévorer. La mère entre en pleurs, mais son mari la prend alors par le bras et lui dit :
« Laisse tomber. De toute façon ce n’était qu’un sale nègre. »

Du racisme et de la susceptibilité

Un noir, responsable d’une organisation antiraciste, va trouver le responsable de la bibliothèque de son quartier pour lui ordonner :
– Vous allez retirer de vos rayons cinquante livres dont voici la liste.
– Et sous quel prétexte ?
– Ils comportent le mot « nègre » dans leur titre.
– Vous rigolez, fait le bibliothécaire. J’ai au moins deux cents bouquins qui comportent le mot « putain » et personne ne me demande de les retirer.
– Cela prouve seulement, fait le noir, que vos femmes sont moins susceptibles que nous.

L’amour avec une fille en chaise roulante

Un gars rencontre une fille en chaise roulante. Il la ramène chez elle où après avoir vraiment sympathisé ils font l’amour alors qu’elle est accrochée aux branches du pommier familial.

Une fois repus de sexe, le gars la décroche et il la reconduit jusqu’à la porte de sa maison. C’est son père qui ouvre la porte. Comme le gars se sent coupable, il avoue ce qu’ils viennent de faire au papa.

Le père répond :
« Fils, t’es le gars le plus gentil que ma fille ait ramené à la maison. »

Alors le gars lui demande comment il peut dire une telle chose après ce qu’il vient de lui avouer. Et le père répond :
« Parce que tous les autres gars, d’habitude, ils la laisse accrochée… »