Blagues sexe

Le parti des parties

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Pour les prochaines échéances électorales, nous avons décidé de créer notre propre parti politique. Il s’appellera le « P.É.N.I.S. » (Parti pour un Élan National et pour l’Intégration sociale).

Notre devise : « Le P.É.N.I.S. toujours debout, Le P.É.N.I.S. toujours en action ! »

Le P.É.N.I.S. est un parti égalitaire ! Plus il y aura d’adhérentes, plus le P.É.N.I.S. grossira !

Plus le P.É.N.I.S. sera gros, plus il pénétrera en profondeur dans la société !

Le P.É.N.I.S. donnera du travail à tout le monde, avec ou sans diplôme !

Le P.É.N.I.S. vous apportera, la santé, la joie et la paix du cœur.

Le P.É.N.I.S. cultive l’amour, pas la guerre !

Chers compatriotes, votez tous pour le P.É.N.I.S. aux prochaines élections si vous voulez le redressement de notre pays !

Le rasage intime

Je voulais raser rapidement mes parties intimes. J’ai alors utilisé mon téléphone comme miroir. Tout allait bien jusqu’à ce que je commence à avoir des likes…

Sous le regard maternel

C’est Dédé et Marius qui sont assis sur un banc sous les platanes dans un petit village très rural. Les deux vieillards parlent du passé :
– Dédé, tu sais ce qu’il me rappelle le champ là en face de toi ?
– Non Marius.
– Et bien c’est dans ce champ que pour la première fois j’ai fait l’amour…
– Non ?
– Si, si, c’est vrai ! C’était avec la Germaine.
– C’était comment, raconte !
– Oh, tu sais pour une première fois c’était plutôt sympa !
– Je m’en doute…
– Et tu sais quoi, il y avait sa mère qui nous regardait !
– Non, tu te fous de ma gueule !
– Si je te jure !
– Et qu’est-ce qu’elle disait en vous regardant ?
– « Meuuuuhhh » !

Le sexe qui réchauffe

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Philippe n’est pas très vaillant du point de vue « devoir conjugal ».

Véronique décide de passer à l’offensive. Un soir, elle se blottit dans ses bras en disant :
– Oh ! Philippe, j’ai froid !
Bon prince, Philippe se lève et remonte le thermostat de plusieurs degrés.

Deuxième tentative, elle se blottit à nouveau contre lui en disant :
– Philippe, j’ai encore froid !
Notre « benêt » se lève à nouveau et prend dans une armoire une belle couverture pure laine vierge et couvre Véronique.

À la troisième tentative, Véronique se veut plus explicite :
– J’ai encore froid et je vais te dire un truc : quand maman avait froid, mon père se couchait sur elle !

Et Philippe de répondre :
– On ne va quand même pas réveiller ton père à cette heure-ci !