Blagues religion

La bonne paroissienne

Ça se passe dans une petite ville de province. Une grenouille de bénitier vient voir son curé après la messe et lui dit :
– Monsieur le curé, il faudrait faire quelque chose pour Madame Léger, vous savez, celle que son mari a laissé tomber avec trois enfants sur les bras, pour aller en voir une autre… La pauvre, comme si ça ne suffisait pas, voilà qu’elle n’arrive plus à payer ses loyers…

Le curé :
– Hmmm, quelle tristesse. Je vais voir ce que la paroisse peut faire pour elle. De combien aurait-elle besoin ?

La bigote :
– Ben, je sais qu’elle a trois loyers de 600 euros en retard… C’est ce qu’il faudrait lui avancer.

Le curé :
– 1800 euros ! Bon, eh bien nous essaierons de mettre le reste des fidèles à contribution. Après tout, un peu de charité chrétienne ne fera de mal à personne. Mais dites-moi, comment êtes-vous au courant des difficultés de Madame Léger ? Vous êtes une voisine, ou bien peut-être de sa famille ?

L’autre :
– Non non, je suis sa propriétaire.

Les parties du curé

C’est un curé « nouvelle vague » qui s’en va rendre visite à un de ses paroissiens un samedi soir. Comme il s’approche de la maison, il se doute qu’il y a de l’animation car il entend des cris et des rires.

Le curé appuie sur le bouton de la sonnette, le paroissien ouvre la porte, laissant entrevoir derrière lui un cercle d’hommes complètement nus, avec au beau milieu de ce cercle 3 jeunes femmes, nues elles aussi, mais portant un bandeau sur les yeux et s’occupant à palper les parties des hommes qui leur font face afin d’en deviner le « propriétaire » !

En voyant ce tableau, le curé à son hôte :
– Je suis désolé… Je pense que ma place n’est pas ici ce soir…

Le gars lui répond :
– N’importe quoi Monsieur l’curé ! Les filles ont déjà cité votre nom 3 fois !

La blague du frigo

Cela se passe aux portes du Paradis. Trois hommes attendent d’être jugés par Saint Pierre.

Le premier homme commence son récit :

« Cela faisait un certain temps que je soupçonnais ma femme d’avoir une relation extra-conjugale. Je suis donc rentré chez moi à l’improviste et évidement je l’ai trouvée complètement nue sur le lit. J’ai immédiatement fouillé l’appartement pour trouver le coupable. En vain. Et puis je me suis souvenu qu’habitant au 15ème étage nous disposions d’un petit balcon. J’ai donc ouvert la porte fenêtre et c’est là que j’ai vu cet homme, suspendu dans le vide, s’agrippant à la rambarde du balcon. Je lui ai piétiné les mains pour qu’il tombe mais il tenait bon … Alors je suis allé chercher un marteau. A grands coups sur chaque main, il a fini par lâcher prise. Mais un arbre a amorti sa chute. Voyant qu’il bougeait encore, j’ai attrapé le réfrigérateur de la cuisine et je l’ai fait basculer sur cet individu. L’effort a été si violent que j’ai succombé à une crise cardiaque. Et donc me voilà… »

« Ah bon ? » répond St Pierre passionné. « C’est bon, vous êtes admis au Paradis. »

Le second homme se présente peu après et commence à raconter l’histoire de sa mort à Saint Pierre :

« Voyez-vous, débute-t-il, j’étais en train de repeindre mon balcon au 17ème étage d’une tour. Mon tabouret a vacillé et j’ai basculé dans le vide. Mais j’ai eu la possibilité de me rattraper à un balcon deux étages plus bas. Je pensais être sauvé quand le propriétaire de ce balcon a commencé à me piétiner les mains, puis à me casser les doigts à coups de marteau. Il était fou furieux que je m’accroche à son balcon. Et pire lorsque j’ai lâché prise, comme je n’étais pas mort tout de suite, il m’a balancé son frigo sur la tête pour m’achever… »

« Oui, oui j’ai entendu parler de cette histoire, vous pouvez entrer au Paradis. »

Le troisième homme arrive et entame lui aussi son récit à Saint Pierre :

« Franchement, je ne sais pas comment c’est arrivé. J’étais caché à poil dans un frigo… »

Le paradis du chauffeur

Un curé et un chauffeur de bus arrivent au paradis le même jour. Le chauffeur y est admis mais pas le brave curé qui, furieux, demande audience à saint Pierre :
– N’ai-je pas bien servi Dieu ?
– Certes, mon fils, mais chaque fois que vous prêchiez, vos fidèles dormaient, tandis que chaque fois que le chauffeur était au volant, les passagers priaient !

Nu comme un distributeur

C’est l’histoire d’un joueur qui vient de tout perdre en un soir, au cours d’une partie de poker dans un clandé. Les autres joueurs lui ont même pris ses vêtements et ne lui ont laissé que son briquet et un paquet de cigarettes.

Le patron du clandé à simplement fourni au gars une vieille barrique de vin vide pour qu’il puisse rentrer chez lui sans prendre froid. Mais le robinet qui avait permis de vider la barrique a été retiré, et la barrique est donc affublée d’un trou béant en son milieu…

Alors qu’il est à peine sorti du clandé au petit matin, à poil dans sa barrique, le gars voit arriver vers lui trois religieuses. Aussitôt, il décide de se la jouer « statue » et il se colle contre le mur au coin du café, les deux bras bien serrés le long du corps dans sa barrique sans bouger.

Voyant le gars dans son tonneau, les religieuses se demandent à quoi elles ont affaire. La première réfléchit et dit : « regardez cette statue d’un homme nu dans une barrique, ça doit être un distributeur… » et joignant le geste à la parole, elle sort une pièce qu’elle introduit dans une fente que présentait la barrique sur le côté.

Ensuite, elle introduit la main dans le trou, tire quelque chose à l’intérieur et en ressort… un briquet !

Cela amuse beaucoup la deuxième nonne qui introduit elle aussi une pièce dans la fente, puis introduit la main dans le trou, tire quelque chose, et en ressort… un paquet de cigarettes !

La troisième religieuse veut essayer elle aussi, elle met sa pièce dans la fente, introduit la main, tire quelque chose à l’intérieur… mais rien ne vient. Alors elle tire, puis tire encore, et encore, et encore… et finalement elle crie « Victoire ! », elle ressort la main et dit :
« Regardez mes sœurs ce que j’ai obtenu : de la crème Nivéa ! »