Blagues corses

La nuit de noce corse

Un vieux corse donne des informations à son fils à propos de sa future nuit de noces :

« Alors d’abord, tu vas porter ta femme dans la chambre, parce qu’un corse, c’est fort…
Ensuite, tu vas la poser délicatement sur le lit, parce qu’un corse, c’est doux…
Après, tu vas lui arracher ses vêtements, parce qu’un corse, c’est passionné…
Puis tu vas la caresser délicatement, parce qu’un corse, c’est sensuel…
Enfin, tu vas te branler, parce qu’un corse, c’est indépendant ! »

Le Corse qui cherchait du travail

Un Corse fait la sieste. Sa femme se met en colère :
– Cette fois, Antoine, dit-elle, j’en ai assez. Voici les journaux du jour, tu vas me faire le plaisir de lire les offres d’emploi et de trouver un boulot.

Bon gré, mal gré, il se lève et se plonge dans la lecture des petites annonces. Une demi-heure plus tard, sa femme l’interroge :
– Alors, tu as trouvé une place ?
– Oui, dit-il. Ta mère commence demain.

Le bonheur en Corse

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L’histoire se passe en Corse. Un grand-père est interpellé par son petit-fils de 10 ans :
– Dis-moi pépé, qu’est-ce qu’il faut pour être heureux dans la vie ?
– Hé bien mon petit, pour être heureux dans la vie, il suffit de 2 choses : avoir une bonne santé et un bon travail.
– OK pépé, mais toi, tu es heureux dans la vie ?
– Oh que oui mon petit, tu vois j’ai une bonne santé et ta mémé elle a un bon travail…

Les attentats en Corse et le FLNC

D’après la commission d’enquête planchant sur les attentats survenus au mois de Juillet, il n’est pas prouvé que les Corses du FLNC soient les auteurs de ces derniers.

… En effet, la commission ne voit pas comment un Corse peut travailler et en plus de nuit

Le Corse qui vient travailler sur le continent

C’est un corse qui dit à son vieux père :
– Té, demain je pars travailler sur le continent.

Le père lui répond :
– Tu verras, mon fils, là-bas, il y a de l’argent partout, il suffit de se baisser pour le ramasser.

Le lendemain, le fils prend donc le bateau, et arrive sur le port de Marseille. Il débarque et aperçoit sur un trottoir un billet de 100 euros. Alors il se dit :
– Oh hé puis non, je commencerai demain…