Blagues belges

Les cowboys belges et les indiens

C’est l’histoire de deux immigrants belges en plein Ouest américain, au temps de la ruée vers l’or.

Il fait chaud, et ils se retrouvent à mendier une bière dans un saloon. Au même moment, un gars entre dans le bar en tenant une tête d’indien par les cheveux. Le gars s’approche du barman et il lui tend la tête. En contrepartie, le barman donne à ce gars une pépite d’or.

Les deux Belges demandent au barman des explications. Il leur répond :
– Vous savez les gars, j’peux pas blairer les indiens, et je donne une pépite d’or à celui qui peut m’apporter une tête des ces enfants de p…

Sans attendre la fin de la phrase, Willy et son copain Eddy prennent leurs colts et se mettent en selle.

Quelques temps plus tard, ils dénichent un indien isolé et le tuent. Eddy entreprend alors de lui couper la tête pendant que Willy fait le guet.

Rapidement, Willy vient taper sur l’épaule de son complice :
– Hé Eddy, je pense que tu devrais venir voir ça…
– Tu vois pas que je suis occupé.
– Non, vraiment, je t’assure que tu devrais venir voir !

Alors Eddy se relève, et regarde ce que son copain vient de lui indiquer du doigt: un bon millier d’indiens portant les peintures de guerre et tout le toutim, et se dirigeant dans leur direction !

Alors Eddy fait un clin d’œil à son pote :
– Ah la vache, pince-moi ! On va pas tarder à être millionnaires !

Les français dans le bar belge

Ce sont deux français dans ce bar de Belgique. Et il y en a un des deux qui est bien imbibé d’alcool et qui raconte à haute voix des histoires belges (et pas les plus fines).

Celui qui est clair essaie bien de le dissuader de continuer, mais rien n’y fait, l’autre continue à raconter ses blagues toujours en parlant plus fort. Naturellement, la patience des hommes du cru ayant ses limites, un des clients belges de l’établissement vient aborder les français en disant que « Si ce malotru continue à se moquer de nous les belges une fois, ça va mal se terminer ». Et le belge s’en va.. Mais le français bourré ne se calme pas pour autant, et pendant 5 minutes encore, les histoires belges continuent à pleuvoir.

Finalement, sentant qu’il valait mieux disparaître, le français pas bourré paie et entraîne son ami vers la sortie. Sur le parking, alors qu’il cherche ses clés de voiture, il entend une voix derrière lui qui dit :
– Je vous ai attendu espèces de sales français. Vous allez payer pour toutes les médisances que l’aut fieu a dit

Et là le français encore clair se retourne, voit le belge qui brandit un rasoir… et constate avec soulagement qu’il n’y a aucune prise électrique pour le brancher.

Les laveurs de carreaux belges

C’est deux laveurs de carreaux belges en plein travail sur un immeuble de 40 étages. Ils montent, ils montent, ils montent… et arrivés au 20ème, ils se rendent compte qu’ils ont oublié une vitre au 18ème !

L’un des deux dit à l’autre :
« Ne t’en fait pas, je vais t’accrocher à mes bretelles, et tu vas pouvoir descendre la faire ! »

Sur ce, il harnache son collègue et l’autre commence à nettoyer . Et là, celui qui nettoie se met à éclater de rire, il se pisse dessus tellement il se marre. Le deuxième, vexé, lui demande ce qu’il y a de si marrant et l’autre répond :
« Si tes bretelles pètent, tu te les prends dans la gueule ! »

Le français et le couple de belges naufragés

Trois naufragés sur un ilot désert… Un français et un couple de Belges. Le français se dit qu’il faut trouver une solution à « sa » solitude et décide de baratiner les Belges.

Le français :
– Dites voir, vous savez qu’on en a pour un moment avant qu’un bateau passe…

Le belge :
– Alley, mais c’est vrai ce qu’il dit

Le français :
– Alors voilà ce que je propose. Pour être sur de ne rater aucun bateau, il faudrait faire le guet d’en haut d’un arbre

Le belge :
– Ma foi, c’est pas bête comme idée, tu say.

Le français :
– Ok, alors je commence.

Et le Français monte en haut du palmier. Ça fait pas 5 minutes qu’il y est qu’il crie aux Belges :
– Hé en bas, c’est pas parce que je regarde pas qu’il faut en profiter !

Le belge :
– Mais qu’est ce qu’il raconte ? Mais je ne say pas ce qu’il veut dire !

5 minutes plus tard, même chose : Le français :
– Alors bande de salaupiots ! C’est pas un peu fini de s’envoyer en l’air ?

Le belge :
– Alley, alley, qu’est ce qu’il peut bien dire ? Mais je ne comprends pas ce qu’il raconte ce castard…

Au bout d’une heure, ponctuée toutes les 5 minutes par les injonctions du français, celui-ci redescend et dit :
– Allez le Belge, c’est ton tour de monter sur le palmier pour faire le guet !

Et le Belge monte en haut de l’arbre… Resté seul avec la femme Belge, le Français a tôt fait de la baratiner et il se la fait…

Du haut de son arbre, le Belge se penche, voit se qui se passe en bas et dit :
– Ma foi, c’est quand même bien vrai que d’ici on dirait bien qu’ils baisent…