Blagues paysans

Les épouvantails à oiseaux

Le propriétaire d’une résidence secondaire bavarde, par-dessus le grillage, avec ses voisins, installés dans le village depuis leur naissance.
– Vous ne mettez pas, s’étonne-t-il, d’épouvantail pour les oiseaux ?
– Pas la peine, répond naïvement la paysanne. Soit mon mari, soit moi, on est tout le temps dans le jardin.

La blague de l’amour à moitié

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C’est un garçon de ferme va fêter ses 40 ans, et qui est encore puceau. Pour son anniversaire, son patron décide de lui faire un beau cadeau : il lui donne 500 balles et lui donne une adresse en ville où il pourra se faire déniaiser sans façons.

Le samedi venu, le garçon de ferme prend son « courage » à deux mains et va à la ville en bus…

Le lundi matin, le patron va aux nouvelles :
– Alors l’François, comment ça s’est passé ?
– Super m’sieur Martin. C’t’un bien beau cadeau qu’vous m’avez fait là !
– Et dis-moi l’François, combien d’fois t’as t’y fait l’amour ?
– Attendez… ouais c’est ça…. Ça a fait 3 fois et demie !
– Trois fois ET DEMIE !? Qu’est-ce que tu veux dire ?
– Ben oui : dedans-dehors une fois, dedans-dehors deux fois, dedans-dehors trois fois, dedans et PFUITT ! Ça fait trois fois et demie.

Faire comme le taureau

Le fils de la ferme se balade dans un petit chemin en compagnie d’une jolie jeune fille fraîchement arrivée de la ville pour un petit séjour estival en chambre d’hôte.

Le jeune gars ne pense qu’à lutiner et justement, ça tombe bien, dans la pâture à côté, le taureau est en train de « faire son affaire » à une vache.

Sautant sur l’occasion, le jeune rural dit à son accompagnatrice avec un petit sourire en coin et un clin d’œil :
– Bon sang ! Qu’est-ce que j’aimerais faire pareil !…

Et la fille répond :
– Oh tu peux y aller… Après tout, c’est ta vache !

Le roi bâtard

Un roi, voyageant dans son royaume, rencontre un paysan qui lui ressemble étrangement. Il lui demande :
– Dis-moi paysan, ta mère n’aurait-elle pas servi au palais ?

Et le paysan lui répond :
– Non Votre Majesté. Mais mon père, oui.

La blague de la caresse des seins

C’était le jour où Robert l’agriculteur était parti à la ville pour acheter des fournitures pour la ferme. Tout d’abord, il s’arrêta chez le quincaillier pour acheter un seau et un petit étau. Puis il repassa par le marché pour acheter deux poules et une oie.

C’est alors qu’il du faire face à un problème de taille : comment allait-il ramener ses achats chez lui alors qu’il était à pieds ? La marchande à qui il demandait conseil lui conseilla ceci :
– Pourquoi ne pas mettre votre étau dans le seau que vous porterez de la main gauche, ensuite, vous placez un poulet sous votre bras gauche, un poulet sous votre bras droit, et vous tenez l’oie par ses pattes, de votre main droite.

Le fermier remercia la marchande pour son conseil et quitta alors le marché. Il arpentait un trottoir de la périphérie de la ville, lorsqu’il tomba nez à nez avec jeune femme très jolie et à la poitrine plus qu’avenante. La jeune femme était perdue et lui demandait son chemin :
– Pouvez-vous me dire où se trouve la rue Camille Desmoulins ?

Et le fermier lui répondit :
– Oui, c’est une des rues transversales là-bas plus loin. Si vous voulez, je peux vous montrer un raccourci par une petite ruelle et vous y serez tout de suite.

La jeune femme le regarda d’un œil suspect et s’inquiéta :
– Et comment saurai-je qu’après m’avoir accompagné dans la ruelle, vous ne me collerez pas contre un mur avant de me retirer mon corsage et de caresser mes seins magnifiques ?

L’homme de la campagne, sans s’énerver le moins du monde expliqua :
– Comme vous pouvez le voir, je transporte un seau, un étau, une oie et deux poulets. Comment voulez-vous que je puisse en plus vous coller contre un mur pour caresser vos seins ?

Et la jeune femme répliqua alors :
– Eh bien, vous pourriez mettre l’oie par terre, renverser le seau sur l’oie, mettre l’étau au dessus du seau renversé, et je pourrais vous tenir les deux poulets…