Blagues paysans

Le dépucelage du garçon de ferme

C’est un garçon de ferme pas bien déluré et pas bien intelligent non plus. Un jour, son patron le prend en pitié et décide de lui payer une sortie chez les putes.
– Ecoute mon petit, lui dit le fermier, à ton âge, c’est pas sain d’être encore puceau. Tiens, voilà 50 euros, et tu vas me faire le plaisir d’aller voir en ville sur les boulevards s’il n’y a pas une prostituée qui veut bien de toi !

Le garçon de ferme prend l’argent, enfourche sa mobylette, met son casque, et se met en route pour la ville.

A peine est-il entré en ville qu’il repère les demoiselles en train de faire le pied de grue. Il s’arrête devant la première et lui explique ce que son patron veut de lui. La fille l’invite alors à le suivre dans un hôtel tout proche. Une fois dans la chambre, la prostituée lui fait sa petite toilette et ensuite, elle se déshabille.

Le garçon regarde le spectacle tout nouveau qui s’offre à lui et demande :
– Qu’est-ce que c’est que ça ?
– Ça ? C’est ma bouche d’en bas ! Répond la fille.
– Quoi ? S’étonne le garçon, faut pas me prendre pour un idiot, hein… Je sais bien qu’il n’y a pas de deuxième bouche là en bas !
– Mais si, regarde, répond la fille en lui montrant par le geste : Il y a une moustache… il y a des lèvres…
– Oui mais il n’y a pas de langue ! Répond le garçon.
– Ah, pas encore, mais tu va bien arrêter de parler, non ?

La femme du paysan Kabyle

Miloud est un paysan kabyle qui veut se marier.. il demande donc à son père de lui trouver une paysanne très pure qui n’a jamais connu aucun homme de sa vie… Le père répond que c’est facile, lui trouve une belle femme, pure et timide comme il voulait, et le mari…

Alors la première semaine après le mariage, Miloud ne fait qu’embrasser sa femme et à chaque fois qu’il l’embrasse, il lui dit: :
– Ça… ça s’appelle « l’Embrasse »… Il n’y a personne qui sait faire … Il y’a que Miloud qui sait faire…
La femme dit oui.

La deuxième semaine après le mariage, Miloud se met à lui caresser les seins et tout et lui dit :
– Ça… ça s’appelle « la Caresse »… Il n’y a personne qui sait faire … Il y’a que Miloud qui sait faire…

Et la troisième semaine il couche avec elle puis lui dit :
– Ça… ça s’appelle « le Nique »… Il n’y a personne qui sait faire. .. Il y’a que Miloud qui sait faire…

Un beau jour Miloud s’absente de la maison. Son cousin, amoureux de sa femme depuis longtemps, en profite et vient soi-disant lui rendre visite. Alors la femme de Miloud l’accueille avec gentillesse et le fait s’asseoir.. Elle lui amène ensuite du thé, mais il le refuse. Elle lui propose de manger quelques chose, il refuse. De voir la télé, il refuse toujours. Perplexe, elle lui demande :
– Tu veux « le Nique » ?

Alors le cousin enfin tout content lui répond
– Oui, oui, oui,…

Et la femme de Miloud rajoute :
– On va alors attendre que Miloud revienne, il n’y a que lui qui sait le faire…

La modernité de la campagne

Un petit Parisien va voir une très vieille dame qui habite une fermette, dans le petit village où les parents de l’enfant ont acheté une résidence secondaire. Il s’extasie, en voyant qu’elle s’éclaire avec une lampe à pétrole :
– C’est drôlement moderne, chez vous. Chez nous, à Paris, on en est encore aux tubes de néon.

Les tomates du paysan

Un paysan, spécialisé dans la culture des tomates, s’est acheté sa première voiture avec laquelle il va découvrir la ville. Soudain, il pile devant un feu vert.
– Qu’est-ce qui vous prend ? Proteste l’automobiliste qui le suivait et qui l’a embouti à l’arrière.
– Tiens, répond le paysan, j’attends qu’il mûrisse.

Les épouvantails à oiseaux

Le propriétaire d’une résidence secondaire bavarde, par-dessus le grillage, avec ses voisins, installés dans le village depuis leur naissance.
– Vous ne mettez pas, s’étonne-t-il, d’épouvantail pour les oiseaux ?
– Pas la peine, répond naïvement la paysanne. Soit mon mari, soit moi, on est tout le temps dans le jardin.