Blagues militaires

La compagnie de la pute

C’est un capitaine qui passe rue Saint Denis et demande à une pute :
– Excusez-moi jolie demoiselle, mais pour 100 euros acceptez-vous ma compagnie ?
– Bien sur mon mignon, un beau gars bien poli comme toi !

Alors le capitaine fait :
– Compagniiiie, en avvvaaaaaant, Maaarche !

Comment éviter le service militaire

C’est l’histoire d’un type qui veut à tout prix éviter le service militaire. Il ne veut pas, mais alors pas du tout, porter l’uniforme, et il est prêt à tout pour ça ! Il va donc voir un ami à lui qui est médecin :
– Ben, c’est qu’en ce moment, ils prennent tout le monde ! Je ne vois qu’une seule chose… C’est de te faire castrer, devenir eunuque quoi !

Alors là, vous allez pas le croire, mais le type n’hésite pas une seule seconde et… Hop! Il se fait châtrer vite fait bien fait et rapplique devant le conseil de révision. Le toubib militaire le regarde rapidement, et fait :
– Réformé !… Vous avez les pieds plats !

Un problème de tir

C’est un militaire, un sergent on va dire.

Il est en train de s’exercer au tir avec son Famas. Il est couché sur le sol et balance quelques balles en coup par coup.

Lorsque le première classe Dutrou va contrôler les cibles, il crie à l’intention du sergent :
« AUCUNE BALLE DANS LA CIBLE, SERGENT ! »

Alors le sergent regarde son arme… puis regarde la cible… puis regarde à nouveau son arme… puis encore la cible.

Ensuite, il met son index gauche au bout du canon et à l’aide de son index droit, il presse la détente. Naturellement, son doigt est pulvérisé !

A ce moment là le sergent hurle en direction du soldat :
« ÇA PART D’ICI CORRECTEMENT. LE PROBLÈME DOIT SE TROUVER LÀ-BAS ! »

Dessin d'un militaire donnant un ordre
Un problème de tir

L’amour avec une truie

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Un appelé se retrouve au fin fond du Larzac pour son faire son service et « servir la France ».

Au bout de quelques semaines d’abstinence forcée, et commençant à avoir quelque peu mal au bras droit, il demande à son adjudant comment les autres parviennent à gérer ce cruel manque de féminité à leurs cotés. Celui-ci lui explique qu’il y a une ferme non loin de là, où il est possible de passer un moment avec une truie en échange d’une bonne bouteille remise au fermier.

L’appelé va donc, le soir même et sa bouteille sous bras, rendre visite à la truie…

Le lendemain, l’adjudant le voit plein de bleus et de bosses, griffé et couturé. Il lui demande ce qui s’est passé :
– C’est au moment où j’ai voulu la retourner, elle s’est débattue, et voilà le résultat.
– Mais enfin, lui répond l’adjudant, ce n’est pas la peine de la retourner !
– Ah si, moi quand je fais l’amour, faut que j’embrasse !