Blagues commerce

Le forçage du représentant

Un représentant en aspirateurs harcèle littéralement une ménagère. Chaque semaine, il sonne chez elle, bloque la porte avec son pied pour qu’on ne la lui ferme pas au nez, déballe son matériel, fait son baratin, sort son bon de commande….

Au bout de deux mois, la femme n’en peut plus et explose :
– Maintenant ça suffit ! Je ne veux plus vous voir ! Plus jamais !

La semaine suivante, il sonne à nouveau.
– Je vous ai dit que je ne voulais plus vous voir ! s’écrie la dame. Vous n’avez pas compris ?
– Si, si justement, j’ai une bonne nouvelle pour vous : j’ai trouvé un nouveau job. Alors, j’ai tenu à vous présenter mon remplaçant.

Erreur de destinataire

Le jour de l’ouverture de son magasin, un commerçant reçoit un bouquet de fleurs. Sur la carte jointe, il découvre les mots suivants : « Nos sincères condoléances ».

Le fleuriste lui téléphone pour lui présenter ses excuses, ce bouquet ne lui était pas destiné.
– Oh ce n’est pas grave, cela peut arriver !
– Ce qui me gêne, c’est que le bouquet qui vous était destiné, ainsi que sa carte, sont partis pour le cimetière.
– Ah ! Qu’y avait-il d’inscrit sur cette carte ?
– « Félicitations pour votre nouvel emplacement ».

Publicité ménagère

Une affiche représente trois personnages en train de vanter un ustensile ménager :
– Je l’ai fait ! dit l’un.
– Je l’ai vendu ! dit l’autre.
– Je l’ai acheté, dit le troisième.

Mais, quelqu’un a ajouté en dessous, en grosses lettres :
– Moi, je l’ai rendu !

Timbre nasal

La Poste ayant décidé d’éditer six timbres à l’effigie des plus célèbres héros de l’art dramatique, une question se pose :
– Comment procéder pour Cyrano de Bergerac ?
– On va faire un timbre à 1,29 euros pour son visage et un autre, à cinq centimes, pour son nez.

La moins jolie marchande

Une petite marchande de fleurs a l’air triste et une de ses amies lui demande ce qui ne va pas.
– J’ai l’impression que je suis moins jolie qu’avant, explique la petite marchande.
– Je me demande ce qui te permet de penser une chose pareille !
– Mais si, les messieurs commencent à compter la monnaie que je leur rends.