Blagues tribunal

Le délai de réflexion pour meurtre

Le père François se retrouve aux assises pour avoir tenté de trucider son ennemi de toujours, le père Mastard. Le père François est un caractériel irascible qui ne semble même pas regretter son geste. Le juge l’apostrophe :
– Mais enfin, faites un effort, donnez-moi au moins une raison pour laquelle on ne devrait pas vous condamner à la peine maximale pour votre forfait !

Le père François :
– Euh… Je peux avoir un peu de temps pour réfléchir ?

Le juge :
– Cinq ans fermes, ça va ?

Le suicide du pigeon

– Alors, dit le président du tribunal correctionnel, vous accusez ce chasseur d’avoir tué l’un de vos pigeons.
– Non, répond le plaignant. Je ne l’accuse pas formellement, mais disons que j’ai de fortes présomptions contre lui.
– Exposez-les.
– Voilà. D’abord, je l’ai vu saisir son fusil, épauler, viser le pigeon et appuyer sur la détente. Puis, j’ai entendu le bruit du coup de feu. Ensuite, j’ai vu le pigeon tomber à ses pieds. Enfin, quand je me suis approché, cet individu l’avait déjà mis dans une de ses poches. Et, jusqu’à présent, jamais un de mes pigeons n’a manifesté l’intention de se suicider de cette façon. Voilà pourquoi je dis que j’ai de fortes présomptions contre lui…

La surenchère de la justice

Un commissaire-priseur véreux passe en correctionnelle. Au moment du verdict, le président se tourne vers ses assesseurs en disant :
– Le départ des enchères est à six mois de prison ferme. Qui dit mieux ? J’entends huit mois à gauche. Personne ne dit mieux ? Dix mois, à droite ? J’ai une offre à un an. Un an une fois… Allons, messieurs, qui dit mieux ? Deux fois… trois fois..: Adjugé !

Violer une morte

Au tribunal le juge s’adresse à l’accusé :
– J’ai vu dans ma vie d’horribles personnages, mais des comme vous, j’en avais vu. Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait ?…violer une morte c’est épouvantable.
– Ah mais je savais pas qu’elle était morte votre honneur….je croyais que c’était une anglaise.

Condamné sur le tard

Le condamné :
« Vingt-cinq ans de prison … Mais, Monsieur le Juge, j’ ai quatre-vingt-huit ans ! »

Le juge :
« Le tribunal ne vous demande pas l’impossible. Vous ferez ce que vous pourrez ! »