Blagues police

Préférence régionale

En reculant sans jeter un coup d’œil à son rétroviseur, un automobiliste a renversé un passant. Un policier intervient. L’air menaçant, il interroge le conducteur :
– Nom et prénom ?
– Joseph Biron.
– Ça alors, c’est drôle, moi aussi, je m’appelle Biron.
– Date et lieu de naissance ?
– Le 12 août 1977 à Chamalières.
– C’est incroyable ! Moi aussi, je suis né à Chamalières, mais en 1976 !

Sortant de sa poche son carnet de contraventions, le policier dit à l’automobiliste :
– Attendez-moi trois minutes. Je vais coller un PV à ce piéton maladroit qui aurait très bien pu abîmer votre carrosserie et je reviens pour qu’on parle du pays.

Conscience orpheline

Une voiture frôle un agent de la circulation. Celui-ci siffle et l’auto s’arrête.
– Vos papiers ?

Pensant amadouer l’agent, le conducteur montre, au lieu de son permis, une carte de membre bienfaiteur des orphelins de la police. Alors, le gardien de la paix lui demande, furieux :
– Les orphelins de la police ? Combien de leurs pères avez-vous sur la conscience ?

Perplexité policière

L’inspecteur est perplexe :
– Cette enquête sur un vol commis au jardin zoologique s’annonce difficile. J’ai beau tenter d’interroger tous les témoins, les perroquets ne veulent pas dire un mot, quant aux éléphants, ils ne se souviennent de rien !

Détails journalistiques

Un grand magasin est en train de brûler. Un jeune homme s’approche et montre sa carte au service d’ordre.
– Circulez ! ordonne l’agent en fonction.
– Mais, proteste l’homme, je suis journaliste. Il faut que j’aille voir ce qui se passe.
– J’ai dit : « Circulez ». Les détails, vous les lirez demain dans les journaux.