Blagues mort

Petit plaisir funéraire

Un type revient de l’enterrement de sa belle-mère et dit à sa femme :
– Moi, toutes ces histoires de cercueil et de caveau, ça me dégoûte ! Après ma mort, je veux être incinéré. Je me suis déjà renseigné. C’est tout à fait faisable.
– Ah, oui ! dit sa femme. Et ça coûte combien ?
– Cinq cents euros.
– Cinq cents ? Hé ben, mon vieux, on peut dire que tu ne te refuses rien quand c’est pour ton plaisir…

Le décès du chroniqueur

Un grand quotidien publia une note disant : « Nous apprenons la mort d’un de nos anciens collaborateurs, Georges Durand. Sans être un grand chroniqueur, Georges Durand était un serviteur fidèle de notre maison… ».

Le journal à peine sorti, le malheureux Durand, victime de cette sinistre farce, se précipita, fou de rage, dans le bureau du directeur :
– Que vous annonciez ma mort, je trouve cela très désagréable, mais que vous l’annonciez de cette manière, c’est révoltant !
– Je vous fais mes excuses !
– Cela ne me suffit pas !
– Quoi faire alors ?
– J’exige que vous disiez que je ne suis pas mort dans la prochaine édition.
– Soit ! Mais cela va faire le plus mauvais effet !

La mort médicale

Deux hommes discutent dans un bar :
– Sais-tu que Duval est mort ? dit l’un d’eux.
– Le Duval qui avait la phobie des docteurs et qui se soignait lui-même avec des livres médicaux ?
– Oui, lui-même en personne.
– Et de quoi donc est-il décédé ?
– D’un erratum…

Sur la tombe d’un fumeur

Un gros fumeur vient de mourir, emporté par une angine de poitrine. Le marbrier, au moment de graver l’inscription funéraire, demande à sa veuve :
– Qu’est-ce que je mets, madame ?

Alors, la veuve, tragique :
– Mettez : « Paix à ses cendres ! »

Le constat de décès

Un homme est en train d’agoniser sur son lit d’hôpital. Sa femme est à côté de lui et le médecin est en train de l’ausculter. Au bout d’un moment, ce dernier se relève et annonce :
– Madame, votre mari vient de mourir.

À ce moment, le malade bouge un peu et arrive à articuler :
– Non, je ne suis pas mort.

Sa femme le coupe aussitôt :
– Veux-tu bien te taire ! Puisque le docteur le dit !