Blagues mort

Le deuil du patriarche

Il est de coutume dans cette famille, lorsque le patriarche décède, de le revêtir de son costume de mariage pour l’exposer sur son lit, avant la visite des voisins et amis. Or, impossible de trouver dans les armoires des chaussettes noires à sa pointure. Seule, une paire de chaussettes rouges peut faire l’affaire. Le soir, une voisine choquée, en fait la remarque à la famille :
– Vous n’avez aucun respect pour les défunts. Lui mettre des chaussettes rouges, c’est une honte !
– Et bien quoi, après tout, ce n’est pas lui qui est en deuil.

La sécheresse de la mort

Un reporter questionne la veuve d’un explorateur :
– Votre époux était-il bien assuré ?
– Hélas, non, répond-elle. C’est dire que lorsqu’il est mort de soif dans le désert du Kalahari pour moi, ça a été une perte sèche.

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Petit plaisir funéraire

Un type revient de l’enterrement de sa belle-mère et dit à sa femme :
– Moi, toutes ces histoires de cercueil et de caveau, ça me dégoûte ! Après ma mort, je veux être incinéré. Je me suis déjà renseigné. C’est tout à fait faisable.
– Ah, oui ! dit sa femme. Et ça coûte combien ?
– Cinq cents euros.
– Cinq cents ? Hé ben, mon vieux, on peut dire que tu ne te refuses rien quand c’est pour ton plaisir…

Le décès du chroniqueur

Un grand quotidien publia une note disant : « Nous apprenons la mort d’un de nos anciens collaborateurs, Georges Durand. Sans être un grand chroniqueur, Georges Durand était un serviteur fidèle de notre maison… ».

Le journal à peine sorti, le malheureux Durand, victime de cette sinistre farce, se précipita, fou de rage, dans le bureau du directeur :
– Que vous annonciez ma mort, je trouve cela très désagréable, mais que vous l’annonciez de cette manière, c’est révoltant !
– Je vous fais mes excuses !
– Cela ne me suffit pas !
– Quoi faire alors ?
– J’exige que vous disiez que je ne suis pas mort dans la prochaine édition.
– Soit ! Mais cela va faire le plus mauvais effet !