Blagues alcool

La blague de l’alcool au travail

Pourquoi faut-il boire de l’alcool au travail ?

– Ça augmente le taux de satisfaction au travail car même si vous n’aimez pas le job, vous vous en foutez.
– Ça élimine les vacances, car les mecs aiment mieux venir prendre leur bière au travail.
– La nourriture de la cafétéria paraît meilleure.
– Les boss qui boivent seront plus généreux lors des augmentations de salaire.
– Les négociations salariales sont beaucoup plus faciles.
– Roter pendant une réunion n’est plus remarqué.
– Les employés travaillent plus longtemps, car ils n’ont plus envie d’aller au bar après le travail.
– Ça élimine le fait que les employés se soûlent pendant leur pause repas.
– Ça augmente les chances de voir votre boss nu(e).
– Les employés n’auront plus besoin de café pour se dessoûler.
– S’asseoir les fesses nues sur la photocopieuse ne sera plus interdit.
– Marmonner et se répéter sans cesse deviendra langage courant…
– C’est un incitatif merveilleux.
– Cela réduit le stress et l’angoisse.
– Ça encourage de meilleures communications.
– Ça réduit les critiques envers les bas salaires
– Ça permet aux employés de dire ce qu’ils pensent des boss, et non ce que les boss veulent entendre.
– Ça réduit les coûts de chauffage en hiver.
– Ça encourage le co-voiturage.

La possibilité de l’impossible

C’est un commercial qui vient de faire 1000 Km sous la pluie, la neige, le brouillard… Bref, il est vanné et cherche un hôtel où, enfin, il pourrait dormir. Il se présente au seul hôtel à 100 Km à la ronde.

La réceptionniste :
« Je suis désolée monsieur, mais nous sommes complet. Tout l’hôtel est retenu pour un mariage. »

Le commercial ressort ses vieux cours de charme :
« Mais voyons mademoiselle, je me lève à 5 heures demain matin, les fêtards ne seront toujours pas couchés… »
À force de persuasion, la réceptionniste accepte.

Le commercial peut enfin se coucher. Il s’endort aussitôt. Jusqu’à ce que le premier locataire de la chambre vienne se coucher lui aussi.

« Merde, il va me faire des histoires », pense le commercial. Mais non, l’autre, complètement ivre s’endort comme une masse sans même le voir.

Tant mieux pense l’autre. Cependant, en se réveillant, il sent qu’il faut qu’il aille aux toilettes et c’est pour la grosse commission.

Trop fatigué pour se lever, et peut-être pour se venger des ronflements que lui a infligé le fêtard, il baisse le pantalon de l’ivrogne et fait son affaire comme ça.

Sur le coup des 11 heures du matin, l’ivrogne se réveille, cela fait belle lurette que le commercial a repris la route.

En plus d’avoir la gueule de bois, il a l’air soucieux. Il répète inlassablement : « Ça, c’est possible. Ça, c’est possible aussi. Mais ça… Non, ça c’est pas possible. Bon, ça, c’est possible. Ça, j’admets que c’est possible aussi. Mais ça… Mais non, ça c’est pas possible, rien à faire. »

Au bout d’un moment, la réceptionniste intriguée lui demande ce qui lui arrive. Son esprit encore nébuleux lui fait avouer à quoi il pense :
« Bon, que je rentre saoul, fumé comme un jambon, c’est possible. Que je sois dans un état assez pitoyable pour me chier dessus, bon, à la limite, c’est possible. Mais que je me chie dessus entre le pantalon et le caleçon, non, non, c’est pas possible. »

Le poids d’un pet

C’est la sombre histoire d’un gars fin saoul dans un bar. En bredouillant, il demande à son compagnon de beuverie :
– Eh ! À ton avis, combien ça pèse un pet ?
– Qu’est-ce que tu racontes ? Un pet ne pèse rien : c’est un gaz !
– Merde, alors je crois que j’ai chié dans mon froc…