Blagues femmes

Les seins de ma femme

Ma femme a une curieuse poitrine : deux bérets basques… Elle ne met pas de soutien-gorge, mais des gants de toilette. Et pour marcher dans notre salon, elle n’a pas besoin de patins…

Le bien des hommes

Les femmes qui ne cuisinent pas, qui ne font pas le ménage et qui ne sucent pas se demandent toujours où sont les hommes bien…

Les hommes bien viennent juste de finir de dîner, sont dans une maison propre en train de se faire sucer.

La rupture du clapier

Deux copines discutent :
– Je viens de rompre avec Julien. Il m’avait posé trop de lapins.
– Tu trouves ça tellement grave ?
– Oui, parce qu’il les avait posés sur mes épaules en me faisant croire que c’était du vison.

La blague du ronflement

Voici à présent quelques conseils à l’adresse des femmes dont les maris ronflent. Les méthodes préconisées ci-après sont garanties comme étant d’une efficacité totale, puisque ce sont des épouses aimantes qui nous les ont communiquées après les avoir expérimentées.

Première méthode, dite « du coton » :

« À partir du jour où, avant d’aller au lit, j’ai obstrué la bouche et les narines de mon mari avec du coton, il n’a plus ronflé. »
Signé : une veuve éplorée.

Deuxième méthode, dite « de la bouteille » :

« C’est quand il est sur le dos que mon mari ronfle. Pour l’empêcher de dormir dans cette position, je glisse des tessons de bouteilles dans le lit conjugal. Grâce à cela, je suis tranquille, il ne ronfle plus à la maison. Mais j’ai l’impression qu’il va ronfler autre part car il rentre dormir chez nous de plus en plus rarement. »
Signé : une épouse dubitative.

Troisième méthode, dite « au poivre » :

« Dès qu’il ronfle, je lui mets du poivre dans le nez. Le reste de la nuit il ne ronfle plus. Par contre, il éternue… »
Signé : une femme de Cayenne (Guyane).

Quatrième méthode, dite « du ventilateur » :

« Pendant son sommeil, je place un ventilateur au bout de son lit ; je glisse ses doigts de pieds entre les pales et dès qu’il émet un ronflement, je branche l’appareil. Depuis je dors tranquille et il porte des chaussures plus petites… »
Signé : une femme qui tient à son sommeil.

Cinquième méthode, dite « du mixeur » :

« Dès que mon mari a fermé l’œil, je lui glisse le mixeur dans la bouche ; au moindre signe de ronflement je mets l’appareil en marche et, grâce à cela, depuis, il dort comme un bébé ! Il n’a plus aucune dent et mange de la bouillie. »
Signé : une femme maternelle.

Sixième méthode, dite « de la corde » :

« Aussi doucement que possible, afin qu’il ne se rende compte de rien, je lui glisse autour du cou une corde que je passe dans une poulie préalablement fixée au plafond. Dès qu’il ronfle, je tire… Là-dessus, il me tire la langue. Comme j’ai horreur de ça, je tire plus fort. Il continue à me tirer la langue. Folle de rage devant ses manières rustres, je tire sur la corde toute la nuit… Avec cette méthode, il ne ronfle plus, mais ce qui me contrarie un peu, c’est que cela semble avoir nui à sa santé puisqu’il ne quitte plus le lit et qu’il est tout verdâtre… »
Signé : une femme qui pensait avoir tiré le bon numéro.

Note des auteurs : Les femmes qui connaissent et utilisent d’autres méthodes sont priées de nous les indiquer, car aucune subtilité de l’imagination féminine ne saurait nous laisser indifférents.

Note de l’éditeur : L’éditeur ne pourra être tenu responsable d’aucun accident, mortel ou non, survenu à la suite de l’utilisation d’une des méthodes qui précèdent.

Re-note des auteurs : Eux non plus !

L’opéra résigné

Un monsieur, grand amateur d’opéra, décide d’assister à la représentation d’une œuvre de Bizet. Sa femme, extrêmement bavarde, lui demande si elle peut l’accompagner.
– Si tu veux, ma chérie, répond le mari d’une voix résignée. Je ne t’ai pas encore entendue dans Carmen.