Blagues femmes

La hauteur de la gourmandise

Dans un magasin d’outillage, une cliente un peu ronde explique à un vendeur :
– Comme je suis extrêmement gourmande, j’ai demandé à mon mari de dissimuler la boîte de chocolats que l’on m’a offerte pour Noël en haut d’un buffet de telle sorte que je ne puisse pas l’atteindre même en montant sur une chaise.
– Excusez-moi, madame, mais puis-je vous demander ce que vous faites dans un magasin d’outillage ?
– Eh bien, je veux juste demander conseil à un vendeur pour l’achat d’un escabeau…

L’âge de la réception

Pour son anniversaire, une femme a prévu d’organiser une petite réception. Elle adresse à toutes ses amies ce courriel :
« Je compte sur votre présence. Les absentes sont prévenues qu’elles seront le principal sujet de conversation de la soirée. Si cela ne les intéresse pas que j’aie un an de plus, c’est leur droit. Ce sera également le nôtre d’évaluer la différence entre l’âge qu’elles prétendent avoir et celui qu’elles ont réellement. »

Testament fraternel

Quelques mois après le décès de son mari, une jeune veuve a un entretien avec le notaire.
– Maître, je vous annonce que je vais me remarier…
– Mais, chère madame, vous ne pourrez pas. Rappelez-vous les termes du testament de votre mari. Si vous vous remariez, toute sa fortune ira à son frère.
– Cela n’a pas d’importance ! C’est son frère que j’épouse.

Réflexe cinématographique

Les infirmiers du SAMU viennent de ramasser un homme en piteux état. Ils l’interrogent :
– Quel a été le premier réflexe de votre femme quand vous avez glissé du haut de l’escabeau sur lequel vous étiez grimpé pour repeindre le plafond, et que vous vous êtes fracturé les deux bras, tandis que le contenu de votre seau de peinture se répandait sur votre tête ?
– Elle s’est précipitée pour chercher son smartphone en me disant : « Garde la pose et, surtout, souris ! »

Désertion horticole

Avant de s’installer pour prendre le petit déjeuner, une femme a posé son ficus en pot sur une chaise, de l’autre côté de la table.
– Enfin, lui dit-elle, ça ne t’étonne pas, toi, que mon mari ait déserté le domicile conjugal sous le prétexte que je passais plus de temps à parler à mes plantes qu’à lui faire la conversation ?