Blagues insectes

Nuit d’amour

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Folles sont mes pensées envers toi, et brûlant mon désir de te serrer dans ma main, avec une soif de plaisir incontrôlable pour ce que tu m’as fait.

La nuit était chaude et calme, et j’étais dans mon lit quand, subrepticement, tu t’es approché. Tu as frôlé mon corps nu avec ton corps, sans la moindre pudeur. Tu t’es pressé contre moi et tu m’as mordu sans scrupule jusqu’à mes plus intimes recoins. Je me suis endormi. Quand je me suis réveillé, je t’ai cherché avec une ardente avidité, mais en vain.

Tu avais laissé sur mon corps et dans les draps des preuves irréfutables de ce qui s’était passé entre nous cette nuit-là.

Cette nuit, je me coucherai plut tôt pour t’attendre dans ce même lit. Quand tu arriveras, je veux t’étreindre avec fougue et impatience. Je veux te serrer avec toute la force de mes mains. Il n’y aura pas un millimètre de ton corps que mes doigts ne toucheront pas. Je n’aurai de répit que lorsque je te verrai à nouveau.

Ce n’est que comme cela que je t’éclaterai la gueule !!

Saloperie d’enculé de moustique de merde !!!!!!!!!

Charles Bronson, Liz Taylor et les morpions

C’est un morpion qui va au syndicat des morpions se plaindre parce qu’il s’emmerde… Alors on lui dit :
– Écoute, on va te mettre dans la moustache à Charles Bronson, ok ?
– Ok.

Alors il y va, et il revient deux jours après :
– Non ça me plaît pas, il est trop propre, il s’essuie la moustache tout le temps, il met rien dedans, ça m’intéresse pas.
– Ok, alors on t’envoie dans la chatte à Liz Taylor, ok ?
– Ok.

Alors il y va mais il revient encore deux jours après.
– Alors, c’était pas bien ?
– Si, mais au bout de deux jours, je me suis retrouvé dans la moustache à Charles Bronson…

Les fourmis en campagne

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Ce sont deux fourmis en pleine campagne qui se promènent.

Arrive une légère averse et elles courent se mettre à l’abri. Au milieu du pré où elles sont, se trouve une femme étendue nue sur l’herbe.

Nos deux fourmis arrivent vers le gazon de la madame et la première dit :
– Allez viens on va se mettre à l’abri dans ces fourrés, Oh et puis viens voir derrière les fourrés, il y a une grotte, allez viens on va y passer la nuit !

L’autre répond :
– Moi aussi j’ai trouvé une autre grotte derrière, c’est bon je m’installe dans l’autre.

Le lendemain, nos deux fourmis se retrouvent. Et la première dit à la seconde :
– Et dis donc y’a un espèce de monstre avec un seul œil qui n’arrêtait pas de venir dans la grotte et m’écraser contre le fond de la caverne. Je l’ai tapé, et au bout d’un moment il m’a craché dessus ! Mais tu n’entendais pas quand je t’appelais au secours ?
– Si, si, je t’ai très bien entendu, mais chaque fois que je voulais sortir, y a un gars dehors qui me balançait deux sacs de patates dans la figure.