Deux explorateurs sont perdus dans le désert. Ils tirent à la courte paille pour savoir lequel sera mangé par l’autre. Le gagnant ne sait pas par où commencer. Le perdant lui dit de commencer par le moins utile : la bite.
L’autre prend un couteau et veut la couper mais l’intéressé lui dit : – Attends, flatte-la un peu, tu en auras plus
C’est un muet qui veux absolument guérir de son infirmité, mais il y a rien à faire, il ne peut toujours pas parler. Normal, quoi, c’est un muet. Alors, un jour, quelqu’un lui donne l’adresse d’un docteur qui fait, parait-il, des miracles. Bref. Notre muet n’hésite pas une seconde, et il court chez le toubib. – Très bien, déshabillez-vous !
Intimidé, le muet se déshabille, et lorsqu’il est finalement à poil, le toubib lui fait : – Tournez-vous et écartez les fesses. Le muet s’exécute.
Soudain, il sent un énorme membre qui lui défonce le cul, et il se met à hurler : – AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHhh! – Mais c’est très bien tout ça, fait le docteur. Bon, vous pouvez vous rhabiller maintenant… et revenez demain pour le B.
Un colonel de l’Armée des Indes passe ses troupes en revue dans une garnison du Penjab. Lors de son passage, un des hommes montre une énoooorme érection.
« Sergent-Major ! » hurle le colonel, « Donnez à cet homme une permission d’un mois pour qu’il puisse retrouver ce qui visiblement lui manque. »
« Yessir ! » Répond le sergent major.
Quelques mois plus tard, le colonel est de retour dans la même garnison du Penjab et repasse la troupe en inspection. Comme la fois précédente, le même soldat fait montre d’un splendide « gourdin » au passage du colonel.
« Sergent-Major, vous donnerez à cet homme deux mois de repos parmi les siens. Il semble qu’il ait encore besoin de retrouver celle qu’il aime. »
Un an plus tard, le colonel refait une nouvelle tournée d’inspection, et cette fois encore, le même soldat fait montre d’un braquemart gigantesque au passage pendant la revue. Le colonel est en colère : « Sergent-Major, n’ai-je pas renvoyé cet homme chez lui par deux reprises déjà ? Alors comment se fait-il qu’il semble toujours travaillé par le désir ? »
Le sergent-major salue et répond : « Sir, c’est de vous qu’il est amoureux, sir ! »
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