blague sur les tableaux

Le sauvetage du Louvre

Un magazine a organisé un grand concours. La question posée était la suivante :
« Si un incendie éclatait au Louvre pendant votre visite et que vous puissiez sauver un seul tableau, lequel choisiriez-vous ? »

Le gagnant a répondu : « Le plus près de la porte. »

Le vol du tableau

Un individu se fait arrêter à la sortie du musée du Louvre. On le fouille et on trouve dans un sac un splendide petit tableau ressemblant à un Corot.
– Joli tableau ! fait le policier. Vous avez la facture ?
– Vous plaisantez, fait l’homme, je suis le peintre en personne. D’ailleurs, voyez, la toile n’est pas sèche !
Et l’homme montre le bout de ses doigts tout rouges.
– Ah bien, fait le policier, vous pouvez passer.

L’homme rentre chez lui et dit à sa femme :
– Tiens, chérie, d’abord, je te rends ton tube de rouge à lèvres qui m’a été très utile. Et maintenant pour toi, voici : joyeux anniversaire !

Et il lui donne le tableau.
– Oh merci… c’est une reproduction ?
– Non, c’est l’original. Le guichet où l’on vend les reproductions et les cartes postales était vraiment trop bien gardé.

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Les débordements professoraux

Ce professeur de mathématiques est un incurable du dépassement horaire. Son cours de 11 heures à midi déborde allègrement vers les 12h15. Un jour, un élève envoyé au tableau vers midi, au lieu de tracer la circonférence demandée, dessine insolemment une horloge indiquant ostensiblement 12 heures.
– Qu’est-ce que c’est ? demande le professeur.
– L’horloge, répond l’élève. Elle dit qu’il est midi, l’heure de la pause.
– J’ai vu, j’ai vu, dit, imperturbable, le professeur. Mais j’attends qu’elle sonne.

Plus moche qu’un Picasso

Un homme se rend au Louvre. Soudain il s’arrête devant un tableau et lance :
– Oh, c’est très moche ça !
– C’est un Picasso, Monsieur, lui répond aimablement le guide.

Plus loin, il s’arrête de nouveau et s’écrit :
– Alors celui-là il est vraiment horrible !
– Ça, c’est un miroir, Monsieur.

Le peintre chauffagiste

Une jeune femme, solidement ficelée à un poteau au-dessus d’un tas de fagots, pose pour un peintre qui brosse un tableau représentant Jeanne d’Arc au bûcher.
– Si jamais vous avez froid, fait l’artiste avec sollicitude, dites-le moi, j’allumerais le feu.