blague écossais
Le grand malheur du gagnant écossais
Un Écossais se désole :
– Vous ne savez pas, raconte-t-il, le malheur qui m’est arrivé ? Figurez-vous que j’avais trouvé par terre un billet pour une tombola. Quand celle-ci a été tirée, je consulte la liste des gagnants et je constate que je remporte le premier lot : une superbe Rolls-Royce ?
– Et alors ? Où est le malheur là-dedans ?
– Les organisateurs n’avaient même pas fait le plein de leur voiture. Il m’a fallu acheter dix litres d’essence pour la ramener chez moi.
Le préservatif écossais usagé
Un Major de l’armée écossaise, vêtu de son kilt et portant sa cornemuse à l’épaule entre dans une pharmacie de Glasgow. Il s’avance au comptoir, fouille dans sa besace de cuir et en sort un préservatif tout ce qu’il y a de plus usé. Il le dépose sur le comptoir et dit :
– Combien cela coûterait-il de le remettre en état ?
L’assistant en pharmacie, bien qu’un peu surpris par la question répond :
– Ça vous coûtera 50 centimes…
Le major réfléchit puis demande encore :
– Et pour un neuf, combien cela ferait-il?
– Pour un neuf, il vous en coûtera 1 euro 50.
– Merci.
Et le major quitte la pharmacie avec sa vieille capote.
Une semaine plus tard, le même major entre à nouveau dans la pharmacie, il s’avance au comptoir, ressort son préservatif usé de sa besace, le pose sur le comptoir et s’adresse à l’assistant en disant :
– Le régiment à décidé d’en acheter un nouveau…
La blague de l’athée écossais

Un Ecossais athée était en train de pêcher sur le Loch Ness quand tout à coup son bateau est attaqué par le monstre. D’un seul coup d’échine, la bête propulse le bateau et son passager dans les air, puis elle ouvre sa gueule et s’apprête à engloutir le pêcheur et son embarcation…
A ce moment, le pêcheur athée crie :
– OH MON DIEU AIDEZ-MOI !
Et d’un coup, tout est gelé sur place : la barque et le pêcheur dans les airs et le monstre dans l’eau, la gueule ouverte.
Alors une voix venant de la haut dans les nuages dit :
– JE PENSAIS QUE TU NE CROYAIS PAS EN MOI !
Et le pêcheur répond :
– Oh dis, lâche-moi un peu tu veux… Il y a deux minutes, je ne croyais pas non plus au monstre du Loch Ness.