Blagues

La blague de la dompteuse

Un propriétaire de cirque passe une annonce trouver un dompteur de lions et deux jeunes gens répondent à l’appel. Il s’agit d’un gars d’une vingtaine d’années et d’une superbe jeune blonde du même âge.

Le propriétaire de cirque leur dit :
« Je vais vous faire passer un test, et je ne vais pas vous le cacher, ça ne sera pas facile : je vais vous placer dans la cage avec le plus féroce de nos lions. Cette carne a envoyé mon dompteur précédent à l’hosto après lui avoir bouffé le bras. Voilà. Je vous laisse en tout et pour tout comme équipement une chaise, un fouet et une arme à feu. Qui veut essayer d’abord ? »

La fille dit : « Moi d’abord. »

Elle laisse la chaise, le fouet et l’arme à feu et entre directement dans la cage du lion. Le lion commence à gronder et haleter et il s’apprête à lui bondir dessus, mais à ce moment-là, elle ouvre grand son manteau et lui révèle son corps complètement nu, un corps superbe ! Le lion s’arrête sur le champ, il rampe timidement jusqu’à elle et se met à lui lécher les chevilles et les mollets. Ensuite il s’arrête et se couche aux pieds de la dompteuse… »

Le propriétaire du cirque n’en revient pas :
– De toute ma vie, je n’ai jamais vu un truc pareil. On va faire un tabac avec cette fille. Mais enfin, je vais être fairplay, je vais quand même regarder ce que vous savez faire. Est-ce que vous pouvez faire mieux que ça ?
– Aucun problème, répond le jeune homme, faîtes simplement sortir le lion de la cage et je vous montre.

La salade pour deux

Un client interpelle le serveur du restaurant :
– Excusez-moi, garçon… La salade que vous venez de nous apporter est bien pour deux personnes ?
– En effet, monsieur.
– Alors, expliquez-moi pourquoi il n’y a qu’une chenille dedans !

Le trou maximum

Deux amis font une partie de golf :
– Combien de trous fais-tu habituellement ?
– Jamais plus de neuf !
– Pourquoi ?
– Parce que le bar est situé entre le neuvième et le dixième trou !

Le champion israélien de football américain

C’est l’entraîneur d’une équipe de football américain qui est en train de regarder CNN. Le reportage montre la guerre dans les territoires occupés, et plus précisément, il décrit les combats vécus du côté israélien : tout le reportage est centré sur un jeune appelé qui est la coqueluche de tous ses camarades car il a une force et une précision dans le bras incroyables !

On le voit tout d’abord jeter une grenade à main à plus de 100 mètres juste dans l’immeuble d’où provenaient les tirs palestiniens : BOUM !

Ensuite, il jette une autre grenade à main sur un groupe d’ennemis cachés derrière les ruines d’un char : Et RE-BOUM !

Enfin, c’est une voiture qui passe devant lui à plus de cent à l’heure et paf il parvient à faire passer la grenade par la vitre des assaillants et la voiture explose !!!

« Je dois obtenir ce type pour le championnat » se dit l’entraîneur. Il décroche son téléphone, passe plusieurs coups de fil, donne quelques pots-de-vin par-ci-par-là, et une semaine plus tard, le jeune troufion israélien est aux États-Unis, sur un terrain, en train de subir son premier entraînement de football américain.

Comme l’entraîneur l’avait subodoré, le jeune homme pulvérise tous les records de la NFL pour la précision de ses lancers et pour les touchdowns qu’il a généré. L’équipe va grâce à lui gagner le Superbowl.

Le jeune israélien est traité en véritable héros. L’entraîneur qui veut le remercier lui demande alors ce qu’il souhaite le plus au monde :
« Je veux passer un coup de fil à ma mère », répond le jeune héros.

L’entraîneur donne son portable au jeune quarterback :
– Maman ? C’est toi ? Tu ne devineras jamais maman : j’ai gagné le Superbowl !
– Je ne veux pas te parler, dit la vieille femme. Tu nous a abandonnés. Tu n’es plus mon fils.
– Maman, je ne pense pas que tu comprennes ce qui m’arrive, plaide le jeune homme. Je viens de faire remporter à mon équipe la compétition sportive la plus regardée au monde ! Tous les jours, je suis cerné par des centaines de fans en délire dès que je quitte mon appartement.
– Non, laisse-MOI te dire ce qui ne va pas, s’énerve la mère. Au moment où je te parle, il y a des gens armés tout autour de nous. Ça tire dans tous les coins. On n’ose plus sortir de la maison. Le voisinage n’est qu’une pile de gravats, tes deux frères ont été battus par un groupe de vauriens et ta sœur a été attaquée et violée en plein jour !

La vieille dame marque une pause, elle est en larmes, et elle ajoute :
« … Je ne te pardonnerai jamais de nous avoir fait déménager à Miami. »