Blagues

La blague de l’abus de viagra

Un gars rencontre son pote pharmacien qui lui dit :
– J’ai un truc vraiment top qui vient d’arriver, tu devrais essayer, ça s’appelle le Viagra.
– Le viagra, ah oui, j’en ai entendu parler, j’veux bien essayer.

Le pote pharmacien lui tend une boite de pilules et lui dit :
– T’en prends un demi, pas plus, au-delà, je garantis pas…
– OK, OK.

Et le gars s’en va, tout content à l’idée de la soirée qu’il va passer. Arrivé chez lui, il se dit qu’il a tellement envie d’assurer qu’il va en prendre un entier. Puis il en prend un deuxième.

Là, il attrape un braquemart colossal et une envie folle de défoncer tout ce qui bouge : il chope sa femme qui passait par là, il la tourne, il la retourne, il lui en fait voir de toutes les couleurs, elle en peut plus, quand on sonne à la porte…

Il va voir, c’est la belle-sœur. Il attrape la belle-sœur, il la tourne, il la retourne, il lui en fait voir de toutes les couleurs, elle en peut plus, quand on sonne à la porte…

Il va voir, c’est la belle-mère. Il attrape la belle-mère, il la tourne, il la retourne, il lui en fait voir de toutes les couleurs, elle en peut plus la pauvre, tant et si bien qu’elle arrive à s’enfuir et va se cacher sous la table de la cuisine, quand on sonne à la porte…

Il va voir, c’est la copine de la belle-mère. Il attrape, il la tourne, il la retourne, il lui en fait voir de toutes les couleurs, elle en peut plus la pauvre, et lui non plus le pauvre.

Il file vite vers le téléphone, appelle le pote pharmacien et lui dit qu’il a déconné en prenant deux Viagra, qu’est-ce qu’il doit faire maintenant ?

Le pote pharmacien répond :
– J’ai un pote qui en avait aussi pris deux, pour se soulager il est allé se la tremper dans du yaourt…

Le gars raccroche, fonce vers la cuisine, ouvre le frigo, prend un yaourt, se la trempe dedans (soupir de soulagement) et la belle-mère, qui voit le spectacle de dessous la table, crie :
– Planquez-vous les filles, il recharge !!!

Maman, j’ai soif

– Mais qu’as-tu dans la tête ? demande une mère, en pleine nuit, à son fils de huit ans. Tu me réveilles une première fois à minuit pour me dire que tu as soif. À deux heures, tu me réveilles encore sous le prétexte que ton ours a soif. À trois heures, ce sont tes soldats de plomb qui veulent boire. Et maintenant, à quatre heures, tu me re-réveilles ! Mais enfin, pourquoi ?
– Parce que, maman, j’ai pensé que peut-être toi-même, maintenant, tu avais soif.