Mois : août 2013

La sexualité des deux prisonniers

Deux prisonniers, un noir et un blanc, attendent leur verdict dans leur cellule. Le verdict tombe : 20 ans de trou !

Ils s’entendent pour éventuellement se satisfaire mutuellement, sexuellement parlant. Autant donc commencer le soir même. Ils décident de choisir à pile ou face, chaque soir. C’est le blanc qui gagne : Le noir fait la femme et se met en position. Il se tourne donc, et voit le blanc qui s’astique le sexe avec un liquide gras et blanc. Il lui demande ce que c’est…

Le blanc répond que c’est de la vaseline, comme ça, « il aura moins mal au cul… ».

Le soir d’après et pendant 10 jours, le blanc gagne, et la scène se reproduit à chaque fois de la même façon. Puis un soir, ce qui devait arriver, arriva, et le noir gagne le toss. Le blanc accepte, et se met en position. Il se retourne soudainement, et voit le noir qui s’astique avec une substance grasse et verte. Il lui demande également ce que c’est.

L’autre lui répond :
« C’est du Vicks, comme ça tu auras moins mal à la gorge ! »

Le conte de fées de la secrétaire

Dans une maison d’édition spécialisée dans les contes de fées, une secrétaire vient trouver son patron :
– Et alors, lui dit-elle, pour terminer son exposé, le beau prince charmant se rendit compte que la petite grenouille avait de très belles cuisses et, après qu’il l’eut embrassée sur la bouche, elle se trouva transformée en une secrétaire particulière à 3.000 euros par mois.

La vieille dame qui a les boules

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Au coin du village, dans une rue calme, quelqu’un déboutonne sa braguette pour un besoin pressant au coin d’une porte.

Le monsieur commence enfin à se soulager quand une vieille dame revenant de ses courses passe par là.

N’étant pas encore tout à fait aveugle, elle remarque que le monsieur a les mains prises (oui les deux). Elle s’avance alors et entame le dialogue :
– Excusez moi, mais voudriez vous me rendre un service ? Un peu surpris, le monsieur, gêné, répond tout de même :
– Euh ? Quoi au juste ?
– Ça fait tellement longtemps que je n’ai plus tenu un sexe dans mes mains… est-ce que je pourrais toucher une de vos boules ? Juste une, s’il vous plaît ?

L’homme est très embarrassé, et refuse gentiment mais la vieille dame se montre tellement gentille et persuasive qu’à force de se lamenter, la vieille dame obtient satisfaction.
– Ah…. ça fait si longtemps, s’il vous plaît, la deuxième, je peux ?

Cette fois-ci le monsieur se fait un peu moins prier, et la vieille dame obtient satisfaction.

C’est lorsque la vieille dame a dans chacune de ces mains une des boules du monsieur, qu’elle se met à les frapper violemment l’une contre l’autre, en répétant comme une litanie :
– On-ne-fait-pas-pi-pi-sur-mon mûûûû-reuux…