Mois : juin 2011

Mon pénis adoré

Comment faire pour qu’un macho arrête d’appeler son pénis « ma baguette magique », « mon bazooka », « mon six coup », « ma chose énorme » ?

En lui demandant : « est-ce qu’elle est dedans là ? »

Le drôle de 69 des paysans

blague sexe, blague nourriture, blague paysans, blague 69, blague Paris, blague potée aux choux, blague pet, blague gaz, humour drôle

Une paysanne gagne un week-end a Paris… Quand elle revient, son mari lui a préparé une bonne potée aux choux…

Après le repas la paysanne veut montrer a son mari un truc qu’elle a appris en regardant une revue cochonne, et qui s’appelle le 69.

Les deux prennent la position et commencent le travail. C’est sympa pendant 5 minutes, après quoi le chou commence à macérer sévère, et la femme finit par péter au nez de son mari.

2 minutes passent et la femme lâche un deuxième pet.

Le mari s’exclame alors « Dis donc la Marie, j’espère qu’il n’y en a pas encore 67 comme ça. »

Le petit garçon qui attendait l’hiver

Tous les hivers, j’attendais avec impatience les premiers flocons de neige. Je me souviens de mon excitation lorsque je contemplais ces premières petites boules de coton former un doux matelas blanc. J’étais fou de joie et je me précipitais à la porte de la maison, criant à ma mère et à mon père :
« IL NEIGE! Vous vous souvenez de l’accord qu’on avait passé ensemble ? Laissez-moi ENTRER maintenant ! »

La dernière phrase de Lady Di

Le garde du corps de Lady Di est enfin sorti du coma. Il a pu faire des révélations intéressantes au sujet de l’accident qui coûta la vie à la princesse de Galles, et notamment la dernière phrase prononcée dans la Mercedes.

C’était : « coucou, qui est là ? »

L’insomnie de la jeune mariée

C’est la nuit des noces. Au milieu de la nuit la jeune mariée se réveille, soupire, s’étire, secoue son mari. Celui-ci se réveille et demande :
– Qu’est-ce qui t’arrive, Feigele ? T’arrives pas à dormir ?
– Oooh, non, je ne peux pas. Tu sais, quand j’étais petite et que je n’arrivais pas à m’endormir, ma mère me prenait dans son lit, m’embrassait, me câlinait… et j’arrivais à m’endormir très vite après.
– Non mais, et puis quoi encore !? Tu voudrais peut-être que j’aille te chercher maman en plein milieu de la nuit ?