Repartir

Si loin sous d’autres cieux
Mon étoile s’en allait
Me laissant ses adieux
Et une immense plaie

Me manquent son sourire,
Ses joies, son air mutin
Ses peines et ses soupirs,
Son regard le matin

Le vieux fou que je suis
Te verra-t-il encore
Et la larme que j’essuie
Est-elle versée à tort ?

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

Rate this post

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.