Mois : novembre 2011

La blague de la mort imminente

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Un gars va chez son médecin pour faire un check-up, car depuis quelques temps, ça ne va vraiment plus très fort. Le médecin après auscultation et résultats de divers examens lui dit :
– Ah là là, j’ai bien peur de n’avoir que des mauvaises nouvelles pour vous… Vous êtes en train de mourir.

Le patient :
– Oh non !?! Ne me dite pas ça… Combien de temps me reste-t-il ?

Le médecin :
– 10…

Le patient :
– 10 ? Dix quoi ? 10 mois ? 10 semaines ? 10 quoi enfin ?!

Le médecin :
– 10… 9… 8… 7…

Le flic avec qui j’avais fait la guerre

Un automobiliste, qui dépassait la vitesse limite, s’est vu intimer l’ordre de stopper sur le bas-côté de la route. En voyant le visage du motard qui s’apprête à verbaliser, il dit à sa femme :
– Ne te tracasse pas. Par chance, je le reconnais. Nous avons fait la guerre ensemble.

Quand le motard repart sur sa moto, après avoir infligé au chauffard une bonne contravention, la femme de l’automobiliste s’écrie :
– La prochaine fois que tu reconnaîtras un policier avec lequel tu as fait la guerre, essaie d’en choisir un qui était dans ton camp !

La blague des testicules dentaires

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C’est une femme qui va chez le dentiste.

Au moment où le dentiste s’approche du fauteuil pour commencer son travail, elle lui attrape les testicules au travers de ses vêtements ! Le dentiste lui dit :
« Wow ! Madame, vous êtes en train de me serrer les parties… »

La femme lui répond :
« Oui. Et maintenant, nous allons être prudents et tenter de ne pas nous faire mal, ni l’un, ni l’autre. D’accord ? »

La blague de l’indien du débarquement

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En 1944, les USA s’apprêtent à débarquer en Normandie et enrôlent à tour de bras pour garnir les troupes d’assaut. Des sergents recruteurs sillonnent le vaste pays et enrôlent le fils du chef indien, qui ne parle que le comanche et ne comprend pas très bien ce qui lui arrive…

2 semaines d’instruction, un parachute sur le dos et hop, largué au-dessus de Ste Mère-Église au petit matin d’un jour de juin…

Naturellement, notre jeune comanche, peu habitué aux délicates manoeuvres d’un parachute de l’époque, dérive gravement et finit par se poser en pleine cambrousse, Complètement perdu, à des kilomètres de son escadron.

Surgit alors un brave paysan. Ebahi mais ravi de voir un G.I. celui-ci plante sa fourche dans le sol et essaie d’entamer la conversation.

– Oh, un américain à c’t’heure ! Salut mon gars ! T’es parachutiste ?

Evidemment, l’autre ne comprends rien et reste bouche bée. Le paysan met alors ses bras au-dessus de sa tête, comme ça, vous voyez, en forme de parachute, et repose la question, sans succès. Avec son index et son majeur, il représente un personnage entrain de marcher et demande :
– T’es fantassin mon gars ?

L’autre, un peu inquiet recule d’un pas sans mot dire. Empoignant une mitrailleuse imaginaire, mais tressautante, il demande :
– T’es mitrailleur peut-êt’ ?

L’autre, de plus en plus circonspect recule de 2 pas. Dans une dernière tentative, le paysan place ses mains en cornet devant ses yeux, comme ceci, à la manière d’une paire de jumelles et demande :
– C’est-y qu’t’es un éclaireur venu pour observer, des fois ?

A ce moment, le G.I. affolé s’enfuit en courant. Déçu, notre brave paysan reprend sa fourche et s’en va de son côté en grommelant. Heureusement, l’histoire se termine bien pour notre héros, qui, après une campagne victorieuse est démobilisé et réexpédié dans sa réserve natale.

Arrivé dans son tipi, son grand sachem de père le questionne sur ses exploits guerriers et lui demande entre autre s’il fut un vaillant guerrier digne de ses ancêtres, n’ayant pas connu la peur.

L’ex-G.I. répond :
– Jamais je n’ai connu la peur, sauf une fois: Le premier homme blanc de là-bas que j’ai rencontré, eh bien figure toi qu’il parlait comme nous ! Et là, j’ai eu vraiment peur. Il m’a dit :
« Quand frère soleil très haut dans ciel,
Quand autres guerriers partis très loin,
Je vais te défoncer le cul.
T’auras les yeux qui te sortiront de la tête. »